domingo, 28 de febrero de 2010

J'aime.

J'ai commencé à écrire en espagnol, j'ai tout effacé. 2H06, Je recommence. Une fois de plus, une grave erreur m'oblige à tout changer. J'oublie les virgules, j'adore les majuscules et pourtant je me sens minuscule face à toi, face à vous. Je relis mon texte, je le déteste, beaucoup de mots, aucun sens. Rien n'a de sens. Je suis fatiguée, je veux dormir, je veux rêver et en même temps j'ai besoin de lire quelque chose qui me fasse adorer, idolâtrer son auteur. L'admiration, c'est mieux que l'amour. Il n'y a pas d'amour sans admiration, en même temps il n'y a pas d'amour sans douleur, sans pleurs, sans nuits noires, sans obsession. L'amour est mortifère, l'amour n'existe pas.. C'est frustrant. La vie est frustrante, t'aimer devient frustrant. Aimer ou en pas aimer? Si je t'aime, je risque de m'obséder. Si je m'obsède et je n e réussi pas à de captiver, je deviendrai folle. Si je t'aime et tu m'aimes c'est finit, je me dirai : “c'était trop facile”, et paf, plus de magie, plus de désir, plus d'admiration. Par contre, ne pas aimer entraîne la monotonie, cette monotonie que tellement je déteste... Que faire? Moi, personnellement, je t'aime quand tu ne m'aimes pas.
Je t'aime parce que tu ne me prêtes pas attention, je t'aime parce que tu es différent, je t'aime parce que je suis totalement consciente que tu es un inconscient. J'aime que tu ne me remarques pas, j'aime que tu sois distant, j'aime que tu ne penses jamais à moi, j'aime tes contradictions. J'aime tout ce que je déteste.

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