lunes, 1 de marzo de 2010

(des)ilusión.

Cada día más gilipollas dios. Me empeño, me empeño y me sigo empeñando. La negación no va conmigo pero tendré que acostumbrarme. Para qué escribir un texto que suene medianamente bien, si el único objetivo de hacerlo es desahogarse? A la mierda las rimas, las metáforas y todas esas paranoias que no hacen más que disfrazar la cruda realidad.
Te idealizo. Está comprobado. En mi mente eres de una manera, en la realidad eres de otra. Bueno, para qué engañarnos, no te conozco ni te conoceré, pero lo poco que me enseñas de ti no coincide exactamente con lo que yo había imaginado. La imaginación, la imaginación juega malas pasadas. Provoca grandes ilusiones, pero a la vez, enormes desilusiones. La ilusión te hace seguir adelante, te hace que te marques tus propias metas, que luches por lo que más deseas y que por consiguiente, tengas motivaciones; en definitiva, es la mejor manera de huir de la monotonía. Lo malo viene cuando te das cuenta de lo que una ilusión conlleva. El concepto de ilusión está ligado al de deseo. Y este, por definición, nunca se puede satisfacer totalmente. Para mí, una ilusión te atrae y a la vez te aterra. Es divertido jugar con ellas, te lo pasas muy bien durante una temporada, te crees que las dominas, pero al final te acaban dominando y pierdes la partida. La ilusión es una trampa, y solo te das cuenta de eso cuando caes en ella. Y si, tú, tú me has desilusionado. Gracias, ya era hora.

domingo, 28 de febrero de 2010

J'aime.

J'ai commencé à écrire en espagnol, j'ai tout effacé. 2H06, Je recommence. Une fois de plus, une grave erreur m'oblige à tout changer. J'oublie les virgules, j'adore les majuscules et pourtant je me sens minuscule face à toi, face à vous. Je relis mon texte, je le déteste, beaucoup de mots, aucun sens. Rien n'a de sens. Je suis fatiguée, je veux dormir, je veux rêver et en même temps j'ai besoin de lire quelque chose qui me fasse adorer, idolâtrer son auteur. L'admiration, c'est mieux que l'amour. Il n'y a pas d'amour sans admiration, en même temps il n'y a pas d'amour sans douleur, sans pleurs, sans nuits noires, sans obsession. L'amour est mortifère, l'amour n'existe pas.. C'est frustrant. La vie est frustrante, t'aimer devient frustrant. Aimer ou en pas aimer? Si je t'aime, je risque de m'obséder. Si je m'obsède et je n e réussi pas à de captiver, je deviendrai folle. Si je t'aime et tu m'aimes c'est finit, je me dirai : “c'était trop facile”, et paf, plus de magie, plus de désir, plus d'admiration. Par contre, ne pas aimer entraîne la monotonie, cette monotonie que tellement je déteste... Que faire? Moi, personnellement, je t'aime quand tu ne m'aimes pas.
Je t'aime parce que tu ne me prêtes pas attention, je t'aime parce que tu es différent, je t'aime parce que je suis totalement consciente que tu es un inconscient. J'aime que tu ne me remarques pas, j'aime que tu sois distant, j'aime que tu ne penses jamais à moi, j'aime tes contradictions. J'aime tout ce que je déteste.